- les calculs théoriques ou modélisations numériques DOIVENT être validés par des expérimentations réelles, donc ne pas rester à l'état de théorie
- pour analyser l'efficacité d'une protection, il faut mesurer un paramètre de protection, biologique dans le cas qui nous intéresse ici
- les ondes électromagnétiques naturelles et artificielles ne sont pas de même nature
- la toxicité ou l'effet biologique d'une onde n'est pas proportionnelle à sa fréquence
- nous ne sommes (à ma connaissance) pas encore capables de décrire précisément le comportement de la matière à l'échelle atomique : les équations de Maxwell ne s'appliquent pas dans tous les cas de figure
- la matière c'est "une forme, une composition chimique et une fréquence". Ce n'est pas juste "une forme et une composition chimique"
- accepter d'avoir des incohérences entre les calculs appris à l'école et les expérimentations dans la vie réelle !
- les principaux effets biologiques des ondes sont générés par les ELF, extrêmement basses fréquences. Les hautes fréquences génèrent des effets thermiques, les basses fréquences génèrent des effets athermiques que l'on doit prendre en considération
- les normes pour les effets sanitaires des ondes électromagnétiques ne sont pas issues de mesures expérimentales mais de calculs
- Oui il est possible que le signal hyperfaible du CMO soit perçu par les organismes biologiques, même en présence de signaux électromagnétiques un million de fois plus forts en intensité
- Biologie et électronique sont 2 domaines distincts
- et nous n'insisterons jamais assez sur le principal : toute affirmation issue d'un calcul et qui concerne la biologie DOIT être vérifiée par une expérimentation biologique