XII/ 5 G et CMO
A l’heure actuelle, il existe en pratique plusieurs types de 5 G : une 5G de première génération qui utilise les infrastructures existantes de la 4 G cours utilisant donc les fréquences actuelles de la plage des micro-ondes. Celle-ci est en cours de développement et utilise des bandes allant de 700 mégahertz jusqu'à 3,8 giga Hertz.
Une deuxième 5 G est en cours de développement qui utilisera des fréquences de 24 et 28 giga Hertz suivant les pays. Elle est actuellement non disponible car elle est en cours de tests dans uniquement des sites d’expérimentions.
Elle pose de sérieux problèmes de portée car elle est rapidement arrêtée par les objets les murs, les voitures, les arbres etc… qui la bloque et l’empêche d'être effective. Pour pallier ces inconvénients, les opérateurs devront construire un nombre d'antenne considérable et son déploiement actuel n’est qu’expérimental.
En Europe, les bandes de fréquences déjà utilisées pour la 5G se situent dans la bande 700 mégahertz ou la bande 1800 mégahertz. Dans ces bandes, Comosystems a déjà apporté la preuve de son efficacité de protection.
Ce sont les bandes autour de 3,5 gigahertz (3,4 3,8 gigahertz) qui ont été attribuées aux opérateurs. La bande des 26 giga Hertz reste à l'état de recherche et d'expérimentation sous réserve qu'elle ne rentre pas en collision avec d'autres services de radioastronomie et d'exploration de la terre.
La 5G en 26 Go ne commencera à être expérimentale sur certains sites que fin 2020
Aux USA la plupart des opérateurs ont choisi des compromis entre la vitesse, la distance et les domaines de couverture utilisant des fréquences déjà employées pour la 4G et employant le même matériel et ré utilisant le matériel utilisé pour la 4G, c'est-à-dire qu'il s'agit en fait une 4G améliorée utilisant des fréquences déjà en utilisation pour la 4G.
Certains ont développé une 5 G de plus haute fréquence dans les 26 giga Hertz mais cela reste confiné à certains centres commerciaux et à quelques aires très restreintes dans une trentaine de centre-ville car les domaines de diffusion sont relativement limités dès qu'il y a des obstacles entre l'émetteur et le récepteur.
Il faudra, pour que cette 5 G de haute fréquence millimétrique s'installe, que les opérateurs revoient dans leur totalité l'installation de nouvelles antennes complètement différentes de celle utilisées pour la 4G et ceci n'est pas encore d'actualité.
Les fréquences couramment déployées aux États-Unis vont de 2,4 à 4,2 giga Hertz
Quelques opérateurs utilisent des ondes millimétriques mais elles ont une portée beaucoup plus courte que les fréquences utilisées jusqu'ici. Elles ont du mal à traverser les murs des bâtiments et cela oblige à multiplier le nombre d'antenne
Les appareils actuels compatibles 5G, particulièrement les téléphones mobiles actuellement en vente sont censés prendre en charge toutes les bandes 5 G de 600 mega Hertz à 3,8 giga Hertz.
Le discours de Comosystems a toujours été d'apporter la preuve biologique que la protection CMO est efficace sur les grands systèmes de fonctionnements des organismes vivants exposés à divers sources de CEM.
Jusqu'à présent, nous avons apporté les preuves scientifiques que la protection CMO compensait les effets des champs électromagnétiques depuis les très basses fréquences (ELF) (écrans, modulations des téléphones) jusqu'à 2,4 GHz (Wifi, Bluetooth, mobiles …)
Nous avons toujours réalisé ces expérimentations avec des appareils du commerce en situation réelle. Cette étendue de gamme de protection va de moins de 50 hertz jusqu'à 2,4 giga Hertz c'est-à-dire dans un intervalle de 1 à des fréquences 50 millions de fois plus élevées.
Pour la 5G, le fait de passer de 2,4 giga Hertz à un maximum actuel de 28 GHz ne constitue qu’un intervalle multiplicateur de 10.
D'après le peu de recherches officielles effectuées sur la 5G, les cibles biologiques des fréquences 3,5 gigahertz 30 Go et 60 Go SFR restent les mêmes et sont toujours modulées avec des fréquences plus basse en ELF
Nous avons toutes les raisons de penser que le CMO pourra protéger ses mêmes cibles de la 5G même de la deuxième génération concernant les mêmes récepteurs les mêmes perturbations engendrées par ce type de rayonnement
Les appareils pour effectuer des expérimentations en direct en situation réelle ne sont pas encore disponibles et dès que ce sera le cas, nous préparons chez Comosystems des expérimentations biologiques pour prouver que le CMO est effectif jusqu'à des fréquences aussi élevées. Nous communiquerons sur ces résultats dès qu'elles seront terminées. Actuellement la 5G telle qu'elle est disponible en Suisse à Monaco et dans certains pays comme les USA n'est qu'une ébauche de 5 G avec des protocoles utilisant des fréquences très proches de celles qui ont déjà été testées pour valider l'efficacité des CMO.
We must therefore differentiate in the 5G what is millimeter of what is not. Look below the distribution of frequency windows allocated to European operators for telephony: apparently, all these windows are at the limit of millimeter waves (for example 26/27 GHz = 11 mm).
But it must be remembered that these temporarily allocated bands are on an experimental basis: they are not the final frequencies of the 5G, otherwise they would not be called "millimeter waves". What will essentially make the quality of 5G is not so much the notion of millimeter wave frequencies, but it is the protocols that will be used, which are multiple, and still not fully defined. So 5G is a project, it would be premature to say today have a 5G protection! It is not here yet! However, we can guarantee that the CMOs act by protecting the biological targets of the millimeter waves, because they are the same types of continuous field emission interactions, uniform, as those of the 4 G waves and earlier. These are the protocols that will have to be tested. We are currently working on knowing these protocols and testing them biologically. You will have answers to these questions as the experiments that will be conducted in the coming months progress.
Il faut donc différencier dans la 5G ce qui est millimétrique de ce qui ne l'est pas. Regardez ci-dessous la répartition des fenêtres de fréquences attribuées aux opérateurs européens pour la téléphonie : apparemment, toutes ces fenêtres sont à la limite des ondes millimétriques (par exemple 26/27 GHz = 11 mm).
Mais il faut se rappeler que ces bandes attribuées temporairement sont à titre expérimental : ce ne sont pas les fréquences définitives de la 5G, sinon on ne les appellerait pas " ondes millimétriques ". Ce qui fera essentiellement la qualité de la 5G, ce n'est pas tant la notion de fréquences d'ondes millimétriques, mais ce sont les protocoles qui seront utilisés, qui sont multiples, et encore mal définis. Donc la 5G est un projet, il serait prématuré de dire aujourd'hui avoir une protection 5G ! Elle n'est pas encore là ! Par contre, on peut garantir que les CMO agissent en protégeant les cibles biologiques des ondes millimétriques, parce que ce sont les mêmes types d'interactions d'émission de champ continu, uniforme, que celles des ondes 4 G et antérieures. Ce sont les protocoles qui devront être testés. Nous travaillons actuellement à connaître ces protocoles et à les tester biologiquement.
Pourquoi la 5G est-elle beaucoup plus dangereuse que les systèmes de communication par micro-ondes précédents ?
Arthur Firstenberg, auteur, chercheur et défenseur de la limitation de l’exposition aux radiofréquences provenant de l’environnement, explique l’analyse du rayonnement 5G qui a été publiée dans Microwave News en 2002. Il a déclaré :
Lorsqu’un champ électromagnétique ordinaire pénètre dans le corps, il provoque le déplacement des charges et la circulation des courants.
Mais lorsque des impulsions électromagnétiques extrêmement courtes pénètrent dans le corps [5G], quelque chose d’autre se produit : les charges mobiles elles-mêmes deviennent de petites antennes qui réémettent le champ électromagnétique et l’envoient plus profondément dans le corps.
Ces ondes rayonnées de nouveau sont appelées précurseurs de Brillouin.
Ils deviennent significatifs lorsque la puissance ou la phase des ondes change assez rapidement.
La 5G répondra probablement aux deux exigences. Cela signifie que l’assurance qui nous est donnée – que ces ondes millimétriques sont trop courtes pour pénétrer loin dans le corps – n’est pas vraie. [2]
Spectre 5 G
5 G
La 5G est différente de la 4G, tant sur le plan qualitatif que quantitatif
L'idée que nous pouvons tolérer de dix à cent fois plus de rayonnement à des longueurs d’ondes millimétriques se fonde sur une modélisation erronée du corps humain considéré comme s’il s’agissait d’une coquille remplie d’un liquide homogène77,78. L’hypothèse selon laquelle les ondes millimétriques ne traversent pas la barrière cutanée fait totalement abstraction des nerfs79, des vaisseaux sanguins80,81 et d’autres structures conductrices d’électricité qui peuvent transporter les courants induits par le rayonnement profondément dans le corps82,83,84. Une autre erreur qui pourrait être plus grave encore veut que les antennes à balayage électronique actif soient des antennes ordinaires. Or il n’en est rien. Lorsqu’un champ électromagnétique ordinaire pénètre dans le corps, il déplace des charges et induit la circulation de courants. Mais lorsque des impulsions électromagnétiques extrêmement courtes pénètrent dans le corps, un autre phénomène se produit : les charges mobiles elles-mêmes deviennent de petites antennes qui rerayonnent le champ électromagnétique plus profondément dans le corps. Ces ondes sont appelées précurseurs de Brillouin85. Elles deviennent importantes lorsque soit la puissance ou la phase des ondes change suffisamment rapidement86. La 5G remplira probablement ces deux critères.
En outre, la pénétration profonde en soi se révèle plus particulièrement dangereuse pour les yeux et pour les organes du corps les plus gros, la peau, de même que pour les créatures très petites. Des études ont récemment été publiées dans des revues dotées de comités de lecture, prédisant des brûlures cutanées par énergie thermique87 chez les êtres humains par le rayonnement 5G et une absorption de la résonance par les insectes88 qui absorbent jusqu’à 100 fois plus de rayonnement à des ondes millimétriques qu’ils ne le font aux longueurs d’ondes actuellement en usage. Étant donné que les populations d’insectes volants ont décliné de 75 à 80 p. 100 depuis 1989, même dans les zones naturelles protégées89, le rayonnement de la 5G pourrait avoir des effets catastrophiques sur les populations d’insectes à travers le monde. Une étude menée en 1986 par Om Gandhi prévenait que les ondes millimétriques sont fortement absorbées par la cornée oculaire et que les vêtements ordinaires, dont l’épaisseur est de l’ordre du millimètre, augmentent l’absorption de l’énergie par la peau par un effet de type résonance90. Russell (2018) se penche sur les effets connus des ondes millimétriques sur la peau, les yeux (y compris la cataracte) le rythme cardiaque, le système immunitaire et l’ADN.