Lorsque vous entendez ou lisez que le wifi par exemple a une fréquence de 2,4 GHz, ce n'est que partiellement exact.
Voici la forme du signal :
La base de temps est de 200 ms (millisecondes, 1ms = 0.001 sec), c'est à dire que vous avez ici 24 impulsions en l'espace de 12 x 200 ms = 2400 ms = 2,4 secondes.
Ce qui fait une fréquence de 24/2,4 = 10 Hz (=10 impulsions par seconde), et non pas 2.4 GHz, c'est à dire 2 400 000 000 impulsions par seconde !
Pour comprendre, il faut zoomer. Voici l'exemple sur une impulsion CPL :
C'est dans chaque impulsion (le trait vertical) que se logent les informations à 2,4 GHz.
La durée de l'impulsion CPL est de 450 µs, c'est à dire 0.45 ms. Le temps entre 2 impulsions est de 40 ms.
Donc la durée réelle du signal à 2.4 GHz est de 0.45 / 40 = 0.011. Ce qui signifie que le CPL par exemple émet 1% du temps uniquement !
Lorsque vous lisez que le wifi, bluetooth, CPL ou autres ont une fréquence de 2,4 GHz, en réalité il s'agit de séries d'impulsions très brèves, entre 10 et 500 Hz globalement. Et biologiquement cela n'a rien à voir : les organismes vont capter des ELF (Extremly Low Frequencies, ou Extrêmement Basses Fréquences) beaucoup plus que le contenu de chaque impulsion. Or les ELF ont des impacts biologiques très forts comme on le verra plus loin.
Les ondes électromagnétiques naturelles sont globalement de forme vibratoire, les ondes électromagnétiques artificielles sont de forme répétitive. Les ondes électromagnétiques naturelles et artificielles sont totalement différentes !
a) le pont de Tacoma https://youtu.be/uhWQ5zr5_xc
Le pont est soumis à des rafales de vent régulières, sur une longue période de temps... et précisément sur la fréquence propre du pont. Attention spoil, à la fin le pont casse. La force du vent pourrait correspondre au signal de la porteuse, et la régularité des rafales aux impulsions ELF. C'est la régularité des impulsions en ELF qui cassent le pont. De même que c'est la régularité de l'impulsion, beaucoup plus que la force de chacune, qui fait le mouvement de la balançoire
b) L'effet stroboscopique
Un stroboscope génère des impulsions lumineuses (des éclairs) très brefs (de 3 à 10 µs) de 0,5 à 250 Hz, c'est à dire de 1 éclair toutes les 2 secondes à 250 éclairs par seconde. il y a donc des impulsions dans les ELF (entre 0,5 et 250Hz), et l'équivalent de la porteuse, c'est à dire la fréquence de la lumière (500 THz, c'est à dire 500 000 GHz).
Or des flashs lumineux entre 15 et 20 Hz peuvent déclencher des crises d'épilepsie : ce n'est pas la fréquence de la lumière à 500 THz qui va générer ces crises, mais la répétitivité des flashs dans les ELF.
Les ELF sont des fréquences trop basses pour provoquer des effets thermiques. Le soucis est que les normes encadrant les effets sanitaires des ondes électromagnétiques ne prennent en compte que les effets thermiques, et à court terme. Donc les effets athermiques, sur du long terme, ne sont pas pris en compte, malgré de nombreuses études biologiques :
"L'exposition des animaux/échantillons biologiques aux champs électromagnétiques (CEM) d'origine humaine, notamment dans la bande des fréquences extrêmement basses (ELF), et la bande des micro-ondes/radio radiofréquence (RF) qui est toujours combinée aux ELF, peut entraîner des lésions de l'ADN. Les lésions de l'ADN sont liées à la mort cellulaire, l'infertilité et d'autres pathologies, y compris le cancer."Champs électromagnétiques d'origine humaine : Dysfonctionnement de l'oscillation forcée des ions et des canaux ioniques dépendant du voltage, stress oxydatif et dommages à l'ADN DIMITRIS J. PANAGOPOULOS1‑3, ANDREAS KARABARBOUNIS4 , IGOR YAKYMENKO5,6 and GEORGE P. CHROUSOS2
D'un point de vue biologique, certes les hautes fréquences vont "stresser" et échauffer les cellules et les tissus, mais les ELF vont (ou risquent de) casser les structures biologiques.
Les fréquences des systèmes biologiques sont en effet dans les mêmes plages de fréquences que les appareils électroniques du quotidien : au sein de sa cavité proténique, l'ion Calcium a une fréquence de rotation de 35 Hz, le Magnésium à 55 Hz, le sodium à 30 Hz, etc. Ce sont les fréquences de l'électronique interne d'un téléphone portable par exemple. Les ondes électromagnétiques artificielles risquent ainsi de casser la liaison ion-protéine, et provoquer certains "désordres biologiques".
Le CMO (Oscillateur Magnétique de Compensation) génère un micro-signal analogue (d'un point de vue de l'intensité) à ce qui est émis par le cerveau : 150 femtoTesla. Ce signal va entrer en résonance avec les cellules biologiques, leur redonner leur fréquence naturelle et recaler le fonctionnement cellulaire : à l'image d'un métronome. Ce signal est l'équivalent d'un message aux cellules : "oui ton fonctionnement est perturbé par des ondes électromagnétiques extérieures, mais voici un signal qui va te permettre de retrouver ton rythme normal et naturel malgré cette pollution : tu peux continuer à fonctionner comme s'il n'y avait pas d'ondes". Le CMO ne va pas dévier ou absorber les ondes, il va simplement redonner cellules et aux différents ions Calcium, Magnésium, Potassium et autres leurs fréquences de fonctionnement naturelles. Le principe de fonctionnement du CMO est très similaire au principe de la mémoire de l'eau : un liquide est structuré avec des fréquences bien précises, et devient capable de restituer ces fréquences. très faibles en intensité, mais néanmoins suffisantes pour entrer en communication avec les cellules biologiques.
Voici le signal de compensation du CMO, qui a été enregistré par SQUID :
Il est dans les ELF (de 10 à 30 hz), et très faible en intensité (150femtoTesla)
ici le CMO MP23
Tous les CMO sont composés de façon identiques : une partie extérieure en aluminium (pour la solidité du produit), et une partie intérieure avec plusieurs petits tubes contenant la solution active du CMO. C'est cette solution active, liquide, qui a été structurée avec les différences fréquences adéquates, et qui va restituer le signal de compensation. Le CMO est un système passif, il utilise le champ électromagnétique extérieur pour entrer en résonance et générer son signal de compensation, de la même façon qu'un tube néon placé sous une ligne à haute Tension va entrer en résonance avec le champ électrique extérieur (50 Hz) restituer de la lumière.
Souvent une erreur est commise, qui consiste à croire que "la cage de faraday coupe toutes les ondes". Ce n'est pas exact, une cage de Faraday en aluminium par exemple ne filtre qu'à partir de 1000 Hz : les ELF traversent la cage de Faraday !
Voici le graphe d'efficacité de la cage :
Les ELF, donc d'une fréquence inférieure à 1 kHz, ne sont pas concernés par la cage de Faraday ; le signal de compensation du CMO, dans les ELF, n'est pas concerné par la cage de Faraday
Une vraie démarche scientifique doit démontrer ses affirmations par l'expérimentation. Les CMO sont conçus pour compenser les effets biologiques des ondes électomagnétiques. La seule façon de le démontrer est de prendre un modèle ou paramètre biologique sensible aux ondes électromagnétiques, de mesurer ce paramètre dans 3 conditions similaires : exposé à un appareil éteint (c'est le lot contrôle) / exposé à un appareil allumé (c'est le lot exposé) / exposé à un appareil allumé, muni du CMO. Puis de faire l'analyse statistique des résultats.
Voici quelques exemples de résultats :
A chaque fois le lot Exposé protégé (en bleu) est l'équivalent du lot témoin.
Concrètement il y a 4 grands types de CMO :
- le CMO-MP24 pour téléphone portable
- le CMO-PC16 pour l'ordinateur
- le CMO-TR26 à avoir dans sa poche
Avec quelques subtilités, puisque le cône est disponible en plusieurs couleurs, et également pour les grands volumes (ref MF05).
Remarque importante : le cône et le TR26 sont conçus pour la partie "communication" des ondes, (wifi, bluetooth, 3, 4, 5G, etc) mais pas pour la partie "électronique interne" des téléphones et ordinateurs, pour des raisons techniques. Les MP24 et PC16 restent donc préconisés même si vous avez l cône dans la maison et/ou le TR26 dans la poche.
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L'électronique et la biologie sont deux domaines tout à fait distincts.
Les laboratoires de biologie font des expérimentations biologiques (c'est ce qui nous intéresse ici), les laboratoires d'électronique font des calculs et des mesures d'électronique (ce n'est absolument pas adapté ici).
Une sonde habituelle de laboratoire d'électronique peut mesurer 0,01 mT, c'est à dire 10 µT, ou 10 000 nT (nanoTesla), ou 10 000 000 picoTesla, ou 10 000 000 000 femtoTesla. Soyons généreux, même avec du matériel très haut de gamme et si vous arrivez à mesurer 1 nT, cela représente 1 000 000 femtoTesla : il est impossible de mesurer les 150 femtoTesla du CMO.
Un laboratoire d'électronique "standard", avec des équipements financièrement accessibles, ne peut pas mesurer le signal de compensation du CMO. Donc ils font des calculs.
Or ces calculs, s'ils ne sont pas recoupés par des mesures biologiques (et ils ne le sont généralement pas), sont basés sur des hypothèses erronées, et conduisent à des conclusions erronées !