Pourquoi elles sont inadaptées

  Traduction de la conférence du Professeur Gérard HYLAND, Professeur en Physique Théorique à l'Université de Warwick

L'inadéquation des normes actuelles de téléphonie cellulaire pour la santé nécessite un nouveau principe : la biocompatibilité par compensation electromagnetique*


G.J. HYLAND
University of Warwick,
Department of Physics,
COVENTRY, CV4 7AL,
England
International Institute of Biophysics,
Kapellner Strasse, ehem. Raketenstation,
D-41472 NEUSS-HOLZHEIM,
Germany
* Les opinions exprimées ici sont entièrement basées sur ma propre recherche indépendante et ne sont ni soutenues ni rejetées par l'Université de Warwick


Traduction de la conférence donnée au colloque
"Téléphones portables, un danger pour la santé ?"
Colloque International, 19 juin 2000, Assemblée Nationale, Paris.
Sous le haut patronage de M. Raymond Forni, Président de l'Assemblée Nationale

 

1. Compatibilité Électromagnétique (CEM) entre appareils
2. Effets thermiques : D.A.S. "Taux d'absorption spécifique" par les tissus
3. Effets non-thermiques
4. Électromagnétisme des organismes vivants
5. Sensibilité électromagnétique du "vivant"
6. Protections biologiquement inadéquates
7. Fréquences "bio-actives" : micro-ondes et ELF
8. Les réponses biologiques individuelles
9. D.A.S. : réduction de l'intensité
10. Thérapies électromagnétiques athermiques
11. Émission magnétique de compensation
12. Biocompatibilité électromagnétique

 

1. Compatibilité Électromagnétique (CEM) entre appareils

L'importance d'assurer la compatibilité (CEM) entre les instruments électroniques de différents types et le rayonnement des micro-ondes pulsées utilisées dans la téléphonie mobile GSM est tout à fait reconnue et acceptée. L'interdiction d'utiliser les téléphones cellulaires en avion et dans les hôpitaux est familière : elle est basée sur le fait que leurs émissions pourraient créer -de façon non thermique- des interférences dangereuses avec les équipements électroniques sensibles ; d'ailleurs leurs effets nuisibles possibles sur les stimulateurs cardiaques et les appareils d'audition ont été le sujet de nombreuses études scientifiques publiées ces dernières années. Plus généralement, la législation actuelle sur la Compatibilité Électromagnétique (CEM) de la Communauté Européenne et du Royaume-Uni exige que tous les matériels électroniques proposés à la vente dans la Communauté Européenne puissent fonctionner de manière satisfaisante jusqu'à une exposition à un champ électrique de 3V/m.

 

2. Effets thermiques : D.A.S. "Taux d'absorption spécifique" par les tissus

Malheureusement cependant, la même préoccupation ne s'étend pas aujourd'hui à l'organisme humain vivant, qui est généralement considéré comme à l'abri des influences nocives des rayonnements des GSM, parce que leurs intensités* seraient beaucoup trop basses pour causer un quelconque degré nocif d'échauffement des tissus de l'organisme (échauffement quantifié par le "taux spécifique d'absorption", le D.A.S.)
Et pour le vivant - contrairement aux instruments électroniques - l'échauffement est généralement considéré être le seul effet nocif possible. Or des normes (limites recommandées) de sécurité basées sur ces considérations thermiques (telles que celles de l'ICNIRP ou CENELEC) permettent des expositions pour les usagers à des champs électriques plus de dix fois plus fortes que le standard CEM de 3V/m qui concerne les matériels électroniques !
* "L'intensité" est exprimée soit comme la "force" du champ électrique en V/m, ou celle du champ magnétique en Tesla, soit comme une densité de puissance, en Watts/cm2, selon la proximité ou l'éloignement des conditions de mesure du champ. (L'intensité en V/m concernant l'usage proche du téléphone portable et l'intensité en Watt/ cm2 concernant l'exposition du public dans le voisinage d'une station-relais cellulaire)

 

3. Effets non-thermiques

La croyance selon laquelle les effets nocifs sur la santé puissent être induits uniquement par l'effet d'échauffement des rayonnements micro-ondes est cependant une erreur.
- Premièrement, ceci est empiriquement évident à travers les rapports nombreux et persistants de problèmes de santé chez certaines personnes exposées à ce type de rayonnements (qu'ils proviennent d'un téléphone mobile ou d'une station antenne-relais) même si l'intensité de ces radiations est bien en dessous des limites existantes de sécurité, qui sont, rappelons-le, basées sur le D.A.S.
- Deuxièmement, il existe un volumineux dossier de preuves accumulées durant ces 30 dernières années dans la littérature scientifique "peer reviewed"**, qui indiquent que le rayonnement peut affecter l'organisme vivant de plusieurs façons non thermiques, dont beaucoup sont cohérentes avec la nature des problèmes de santé rapportés, tels que maux de tête, troubles du sommeil, diminution de la mémoire à court terme et de la concentration, et, dans le cas d'enfants épileptiques, une augmentation significative de la fréquence des crises.
** "revu par les pairs", soumis aux examinateurs des publications scientifiques
- Finalement, la capacité de cette sorte de rayonnement d'exercer de telles influences non-thermiques sur un organisme vivant est une prévision tout à fait générale de la biophysique moderne.

 

4. Électromagnétisme des organismes vivants

Le refus d'accepter la réalité des effets non thermiques est en partie lié à la nature paradoxale de ces effets, par exemple illustrée par le fait que leur importance se trouve souvent accrue alors que la puissance du champ irradiant décroît , et également aux difficultés rencontrées en tentant de répliquer ces effets.
D'autre part, le même refus d'accepter qu'ils puissent provoquer des effets nocifs sur la santé chez certaines personnes est dû à un manque général d'appréciation du fait que les champs électromagnétiques ne sont pas étrangers à un organisme vivant, mais jouent véritablement un rôle tout à fait fondamental et constitutif dans son organisation et son contrôle depuis le niveau microscopique cellulaire, en remontant jusqu'aux organes et fonctions : cela revient à dire que c'est le refus d'accepter qu'un organisme vivant est lui-même un instrument électromagnétique de grande et intense sensibilité et ainsi est autant vulnérable aux interférences non-thermiques des champs électromagnétiques externes que l'est une pièce active d'un équipement électronique, (encore que dans ce dernier cas, l'influence d'un champ donné est toujours la même : ce qui n'est pas la situation avec un organisme vivant !)
Un bon exemple de l'ignorance dominante de ce fait est fourni par le récent développement de TETRA (Terrestrial Enhanced Trunked Radio Access) (~Accès Radio Interurbain Terrestre à longue distance) pour lequel le taux de répétition de la trame de base est 17.6 Hz - quand on sait que cette fréquence se trouve dans la bande des ondes bêta de l'activité du cerveau et qu'elle n'est pas seulement proche de celle à laquelle un flash de lumière visible peut provoquer des crises chez les épileptiques photosensibles, mais aussi proche de la modulation de fréquence pour laquelle on retrouve un maximum d'anomalies dans le transfert des ions calcium dans les cellules, quand elles sont irradiées par des micro-ondes pulsées de faible intensité !

 

5. Sensibilité électromagnétique du "vivant"

Que la faible intensité du rayonnement en micro-ondes pulsées utilisée aujourd'hui dans la téléphonie mobile GSM puisse exercer de subtiles influences non thermiques sur l'organisme humain s'explique en premier lieu parce que les micro-ondes sont avant tout des ondes, et comme telles, ont des propriétés autres que leur seule intensité. En particulier, le rayonnement comprend certaines fréquences bien précises qui facilitent leur discernement par l'organisme vivant, et par lequel il peut en retour être affecté. C'est parce l'organisme humain dans son état "vivant" fonctionne lui-même à travers une variété d'activités biologiques électriques de nature oscillatoire, chacune caractérisée par une fréquence particulière, dont certaines se trouvent être proches de celles utilisées dans les GSM.
Les normes (limites recommandées) de sécurité existantes, basées exclusivement sur la considération du DAS, n'apportent aucune protection contre de tels effets, puisqu'elles limitent seulement l'intensité du rayonnement des micro-ondes, en les abaissant suffisamment pour garantir que l'échauffement des tissus par l'absorption d'énergie émanant des micro-ondes ne soit pas excessive par rapport à ce que peut supporter le mécanisme thermorégulateur du corps et que l'homéostasie ne soit pas compromise.
Il faut réaliser ici que la "vie" dans l'organisme - "le vivant"- n'entre en ligne de compte que pour l'importance d'une augmentation de température au-delà de laquelle se produisent les effets nuisibles sur la santé : alors que l'échauffement lui-même se produit indépendamment de ce que l'organisme soit vivant ou mort !
Par opposition, pour que le rayonnement puisse exercer ses influences non thermiques, il est essentiel que l'organisme soit vivant, car dans ce cas seulement se produit une excitation des diverses activités électriques oscillatoires endogènes, par lesquelles le rayonnement peut atteindre le système biologique : un organisme mort n'a plus aucun ECG ou EEG avec lequel un champ électromagnétique extérieur puisse interférer !
  Ainsi, tout comme une radio ou un autre composant électronique doivent être allumés et correctement réglés, pour pouvoir fonctionner ou subir des interférences avec le signal extérieur d'entrée, l'organisme lui-même doit être alimenté en énergie, (c'est-à-dire : vivant) pour être sensible aux effets non thermiques du rayonnement.

 

6. Protections biologiquement inadéquates

Les règles de sécurité existantes négligent par conséquent le fait le plus discriminatoire de tous, c'est-à-dire le caractère vivant de l'organisme irradié ; elles ne couvrent qu'"une seule face de la pièce"- le côté thermique - en laissant la personne exposée vulnérable à de possibles effets nocifs sur la santé, provoqués par le côté non thermique, complètement laissé dans l'ombre.
La même critique s'applique bien sûr à tout système de protection dont le but est seulement une réduction de l'intensité du rayonnement micro-ondes émis par un téléphone portable vers ou dans la tête de l'utilisateur - soit par un écran de protection ou par l'emploi d'un kit mains libres. Car l'utilisateur est toujours vulnérable, particulièrement aux champs magnétiques de basse fréquence que l'on ne peut pas éliminer, qui sont associés avec les montées de courant émis par la batterie du portable, et sont inévitables pour doter le signal micro-ondes des caractéristiques nécessaires à l'émission en norme TDMA (Time Division Multiple Access ~Division du Temps à Accès Multiple), système employé aujourd'hui dans les GSM.
La forte nocivité de ces champs a été récemment mise en évidence par des expériences sur des embryons de poulets.

Manifestement, les effets non thermiques sont plus reliés à un transfert d'information du champ irradiant vers l'organisme vivant, en raison de sa capacité à "reconnaître" certaines caractéristiques de fréquence du rayonnement, qu'à son aptitude à absorber l'énergie de ce champ.
Cependant, pour que l'organisme soit capable de discerner un rayonnement faible en regard de ses propres émissions thermiques à des températures physiologiques, ce rayonnement doit avoir une certaine intensité minimale, ou alors un degré de cohérence relativement élevé.
Cette intensité minimale est cependant, bien en dessous (de l'ordre de10-15 Watts/cm2) de celle nécessaire pour provoquer un échauffement tissulaire (de l'ordre de10-3 Watts/cm2) en relation avec la fréquence porteuse (micro-ondes) du rayonnement.

 

7. Fréquences "bio-actives" : micro-ondes et ELF

Les fréquences particulières utilisées dans la téléphonie mobile GSM que l'on doit considérer comme particulièrement "bio-actives" sont celles de la porteuse micro-ondes (900/1 800 MHz) et celles de certaines modulations qui caractérisent le signal du système TDMA - spécifiquement le taux de répétition multiframe de 8,34 Hz, et la périodicité 2 Hz associée avec le mode de transmission discontinue (DTX) du portable ; ce dispositif d'économie d'énergie devient actif quand l'utilisateur reçoit mais ne parle pas.
Pour entretenir correctement leurs activités métaboliques, les systèmes biologiques hautement organisés ont des activités électriques oscillatoires au niveau cellulaire, dont les fréquences résident généralement dans la bande micro-ondes. On comprend mieux ainsi les effets spectaculaires de micro-ondes d'ultra basse intensité sur des processus aussi fondamentaux que la division cellulaire et la communication intercellulaire ; d'autre part les deux fréquences ELFs (8,34 Hz et 2 Hz), correspondent à des fréquences retrouvées spécifiquement dans l'EEG humain, respectivement dans les bandes alpha et delta des ondes cérébrales.
Cette hypothèse est largement confirmée par la démonstration que ce type de radiation affecte une grande variété de fonctions du cerveau humain - telles que l'activité électrique, l'électrochimie, la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique et fragilise le système immunitaire.
Cependant, bien que le mode d'action précis par lequel ces perturbations provoquent des troubles pathologiques ne soit pas encore totalement élucidé, il y a une relation indéniable entre les effets non thermiques et la nature de la plupart des problèmes de santé constatés.
Ce qui est clair, en outre, - parce qu'aussi bien l'apparition de l'effet initial non-thermique que la gravité de ses effets associés nuisibles pour la santé sont tous deux dépendants du facteur "vivant" - ces effets dépendent nécessairement de l'état de l'organisme, quand il est exposé au rayonnement.

 

8. Les réponses biologiques individuelles

Evidemment, il existe une grande variabilité d'une personne à l'autre, dépendant, par exemple, de la stabilité du rythme alpha vis à vis des interférences ou des phénomènes d'entraînement par le rayonnement, de la résistance biologique individuelle au stress et de la solidité du système immunitaire.
En conséquence, une exposition similaire au même rayonnement peut entraîner des réponses [non thermiques] différentes chez des personnes différentes (contrairement à ce qui se passe avec l'instrumentation électronique) ; ceci est cohérent avec le fait que toutes les personnes exposées ne seront pas affectées par des effets nocifs ; de même qu'avec les difficultés rencontrées dans la réplication des effets non thermiques dans les expériences de laboratoire in vivo.
Ceci dépend des prédispositions génétiques de la personne, et du fait que le stress est cumulatif ; il est donc fort probable que l'exposition à un champ électromagnétique, en amenant le niveau de stress de la personne à un seuil critique, soit le facteur déclenchant d'une pathologie particulière qui était déjà dans un état de latence instable.
Il faut remarquer qu'une des conséquences caractéristique des micro-ondes comme l'échauffement, entraînant, par exemple, une augmentation de température d'1 °C peut être mortelle ou bénéfique en fonction de la condition de la personne à un moment donné, (par exemple dans le cas de la fièvre ou de l'hypothermie due au froid, dans des conditions de fonctionnement extrême de l'organisme).

 

9. D.A.S. : réduction de l'intensité

Pour couvrir des conditions assez larges d'utilisation, une certaine marge de sécurité est incluse dans les normes d'intensité autorisées lors des expositions aux micro-ondes.
Par contre, il existe un manque de consensus en ce qui concerne l'importance réelle de la marge de sécurité à admettre, ce qui explique la grande variabilité dans les intensités d'exposition recommandées par les différents organismes responsables de la normalisation.
On doit souligner, cependant, que l'effet d'échauffement se produit toujours, quel que soit l'état de la personne, contrairement à ce qui se passe pour les effets non-thermiques.
C'est bien sûr, ce fait qui sous-tend la possibilité d'utiliser des têtes "fantômes" pour déterminer les valeurs DAS ; il devrait cependant être intégré que la fiabilité des valeurs ainsi obtenues est subordonnée au fait que les propriétés diélectriques des fluides synthétiques du "cerveau" utilisés sont assez approximatives et éloignées de celles de l'organisme vivant réel. Sur la base du peu d'information disponible, les différences pourraient s'avérer significatives.
Bien que la réduction de l'intensité d'émission en dessous du seuil d'apparition d'effets thermiques pourrait peut-être accroître la résistance de la personne exposée aux effets nocifs provoqués par les expositions des GSM actuels, cela rendrait en réalité la technologie inutilisable, car ce seuil est extrêmement bas.

En conséquence, dans la recherche de "la biocompatibilité électromagnétique" entre l'organisme humain vivant et le type de rayonnement utilisé actuellement dans la téléphonie mobile GSM, une stratégie tout à fait différente doit être adoptée.

 

10. Thérapies électromagnétiques athermiques

Une idée qui s'impose d'elle-même est basée sur l'efficacité thérapeutique d'exposition à des champs électromagnétiques athermiques sous différentes formes dans des conditions cliniques contrôlées, telles celles utilisées, par exemple, pour l'accélération de guérison des fractures, ou par l'augmentation de l'efficacité des rayonnements ionisants dans le but d'utiliser des doses moins toxiques. Peut-être la thérapie par résonance micro-ondes, est-elle encore plus remarquable, puisqu'elle permet de restaurer l'homéostasie dans un large éventail de pathologies par l'utilisation de rayonnement d'ultra faible intensité d'une fréquence spécifique.

 

11. Émission magnétique de compensation

L'efficacité de cette thérapie qui agit sur les désordres endogènes indique non seulement que les champs électromagnétiques ne sont pas étrangers au corps vivant, mais suggère aussi qu'il pourrait être possible de réduire les dysfonctions qui sont elles-mêmes provoquées par des influences  "informationnelles "des rayonnements électromagnétiques extérieurs, contre lesquelles les stratégies conventionnelles de protection sont impuissantes.
La stratégie appropriée pourrait être d'utiliser un tel type d'émission de "compensation" pour protéger l'organisme humain de la pollution électromagnétique extérieure de façon à garantir une réelle biocompatibilité, essentiellement en utilisant un "antidote" électromagnétique à la pollution électromagnétique.

C'est la stratégie qui sous-tend une technologie prometteuse développée par Tecnolab, dans laquelle l'émission de compensation est un champ magnétique ELF hyperfaible. Ce champ est émis par un oscillateur autonome lorsqu'il est exposé à un champ électromagnétique "polluant".
L'efficacité de cette technologie a été établie de façon expérimentale dans de nombreuses expérimentations indépendantes sur des organismes vivants (animaux ou humains exposés au rayonnement d'appareils réels, tels que des téléphones mobiles et VDUs).

Il est nécessaire de souligner alors que cette efficacité biologique est réelle, aucune différence dans le DAS des appareils GSM ou VDUs ne serait détectée, si une mesure était faite simultanément avec l'émetteur de compensation en fonctionnement installé sur ces derniers : ce qui souligne à nouveau l'inadéquation du concept du DAS pour étudier les problèmes de réponse biologique et de biocompatibilité électromagnétique, et alimente le fait que les effets les plus délétères du rayonnement GSM proviennent de son influence non thermique sur l'organisme vivant.

 

12. Biocompatibilité électromagnétique

Une compréhension de la manière dont l'émission magnétique de compensation réussit à maintenir l'homéostasie, quand un organisme vivant est exposé à une pollution électromagnétique, est actuellement le sujet de nombreuses recherches au niveau international, dans lesquelles des concepts à la frontière des connaissances actuelles ont été évoqués. Il est d'une extrême importance de savoir qu'un organisme vivant, tant au niveau microscopique (cellulaire) que macroscopique, est un système quantique, loin de l'équilibre thermodynamique. Ceci implique des possibilités totalement nouvelles selon lesquelles l'organisme peut être sensible à des champs électromagnétiques hyperfaibles, et à son tour répondre à ces champs d'une manière entièrement athermale.
La recherche actuelle suggère fortement que le champ magnétique de compensation ait pour cible les complexes ions-protéines, dont il aide à maintenir l'intégrité (par des processus de mécanique quantique), quand ils sont sous l'influence perturbatrice d'une pollution électromagnétique externe. Il est en effet bien connu que les ions Ca, Mg, K et Na jouent un rôle crucial dans les processus de transduction de signaux qui sont essentiels à un fonctionnement ordonné (et par conséquent en bonne santé) d'un organisme vivant.
La stratégie de compensation magnétique développée par Tecnolab doit donc être considérée comme étant à l'avant-garde d'une nouvelle génération de technologies qui obtiennent, d'une manière nouvelle et prometteuse, le plus haut degré de biocompatibilité électromagnétique possible.
 

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